
1: Courtry, janvier 2022. L'entrée de l'ancien site militaire, abandonné, aujourd'hui propriété de Placoplatre.

2: Courtry, janvier 2022. Vue de la partie interdite du fort de Vaujours, où furent pratiqués les essais nucléaires au sous-sol.

3: Courtry, janvier 2022. Dans la partie déchetterie sauvage du Fort, les bâtiments, la nature et les déchets ne forment plus qu'un triste décor.

4: Courtry, janvier 2022. M. Gomès, né à Villeparisis, non loin de Courtry, entendait les détonations du fort étant enfant. Il emménage à Courtry en 1968 et entend encore des explosions plusieurs années durant. À country, il habite la "rue du cancer" comme renommée par certains journalistes. Il n'apprécie guère ce surnom, précisant "qu'il n'y a pas plus de cancer ici qu'ailleurs". Il soutient aussi le projet de parc solaire sur la partie déchetterie sauvage du Fort, disant que "c'est tellement pollué qu'on ne peut pas faire de maison ou un parc, ou des champs" et enfin que cela rapporterait de l'argent à la commune. La dépollution du site est estimée à 10 millions d'euros, et ce, sur plusieurs années.

5: Courtry, janvier 2022. Grille d'information et de sécurité nucléaire pour les employés de Placoplatre qui traitent les déchets, potentiellement radioactifs du site.

6: Courtry, janvier 2022. Kit de soin oculaire trouvé dans les bâtiments abandonnés du fort militaire.